Calligraphie : Existence
Bonsoir
C'était une fin de semaine "calligraphie". Ca veut dire... Respirer, être présent et écrire. Ne pas penser, ni au résultat (pourtant on aime bien un chouette résultat quand même ?), ni à l'intention (même si elle a le sympathique aspect d'un cadeau de Noël qui approche), ni aux habitudes, bonnes ou mauvaises..., ni aux "il faut (centrer)" ou "il ne faut pas (sortir du cadre)" ... Pas facile, je vous le dis, moi... ni aux "on doit (aligner)" ou "on ne doit pas (changer d'écriture)"... pas facile non plus, surtout quand on se les impose tout seul... Alors juste respirer, juste être là et écrire.
J'ai lu cette citation de Jean-Jacques Rousseau il y a peu de temps "Ô Homme, resserre ton existence au dedans de toi." Je l'ai modifiée quand je l'ai écrite, en partie volontairement en enlevant le début, en partie sans m'en rendre compte pendant que j'écrivais en transformant la fin.
Il s'agit toujours de l'écriture semi-onciale irlandaise. Ben oui, il faut encore que je la travaille. Elle résiste la bougresse !
Nous avons eu également un baptême : pour la première fois nous avons écrit sur du parchemin, du vrai de vrai. C'est étrange. Ca glisse tout seul, ça dérape donc facilement dans les mouvements classiques de la plume. Mais pour les mouvements de remontée, ça facilite les choses par contre.
Je vous souhaite une bonne nuit. Et je vais m'occuper des "il faut"... Il faut bien parfois...
Véronique
C'était une fin de semaine "calligraphie". Ca veut dire... Respirer, être présent et écrire. Ne pas penser, ni au résultat (pourtant on aime bien un chouette résultat quand même ?), ni à l'intention (même si elle a le sympathique aspect d'un cadeau de Noël qui approche), ni aux habitudes, bonnes ou mauvaises..., ni aux "il faut (centrer)" ou "il ne faut pas (sortir du cadre)" ... Pas facile, je vous le dis, moi... ni aux "on doit (aligner)" ou "on ne doit pas (changer d'écriture)"... pas facile non plus, surtout quand on se les impose tout seul... Alors juste respirer, juste être là et écrire.
J'ai lu cette citation de Jean-Jacques Rousseau il y a peu de temps "Ô Homme, resserre ton existence au dedans de toi." Je l'ai modifiée quand je l'ai écrite, en partie volontairement en enlevant le début, en partie sans m'en rendre compte pendant que j'écrivais en transformant la fin.
Il s'agit toujours de l'écriture semi-onciale irlandaise. Ben oui, il faut encore que je la travaille. Elle résiste la bougresse !
Nous avons eu également un baptême : pour la première fois nous avons écrit sur du parchemin, du vrai de vrai. C'est étrange. Ca glisse tout seul, ça dérape donc facilement dans les mouvements classiques de la plume. Mais pour les mouvements de remontée, ça facilite les choses par contre.
Je vous souhaite une bonne nuit. Et je vais m'occuper des "il faut"... Il faut bien parfois...
Véronique
Libellés : Calligraphie
4 commentaires:
À 11 décembre, 2006 10:09 ,
Elisabeth a dit...
La citation et son "interprétation" donnent à réfléchir... c'est le but non ?
Très beau le bleu, il apaise et intériorise.
Bisous
À 13 décembre, 2006 14:45 ,
Marie-Hélène à Madrid a dit...
Je termine enfin la surveillance de mes blogs après 6 jours de vacances et évidemment quand on s'appelle Véronique on est à la fin de la liste alphabétique !!! Ton blog est superbe et tes écritures à mourir d'envie !!!!!
À 14 décembre, 2006 06:57 ,
Sonia B a dit...
Ah mais, c'est tellement évident, cette transformation involontaire ou non de cette citation...elle te colle mieux comme ça, c'est exactement "toi"...superbe réalisation...;-D
À 22 décembre, 2006 16:54 ,
Marie-Hélène, a dit...
Je suis toujours soufflée par tes calligraphies. Et béate d'admiration, moi qui n'ai jamais eu le courage de pousser ce grain de passion qui aurait pu fleurir en moi quand j'ai atteint la vingtaine. Merci de me permettre de la vivre un peu à travers tes réalisations!
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